Evolution des réponses à la question "je vais vous citer des actions qui pourraient réduire les émissions de gaz à effet de serre ; pour chacune dites moi si vous le faites déjà?"

84% Pourcentage de sondés triant leurs déchets au quotidien.

ADEME- Enquête annuelle sur les représentations sociales

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Evolution des pratiques réduisant les émisions de gaz à effet de serre
Année Trier les déchetsCouper mon chauffage et mon chauffe-eau en cas d'absence prolongéeVeiller à acheter des légumes de saison Limiter le chauffage et la climatisation de son logementEteindre les appareils électriques en veille Acheter de préférence des produits locaux Limiter la consommation de viande de mon foyerConsommer moinsChoisir des produits avec peu d'emballageNe plus prendre l'avion pour ses loisirsChoisir des produits ayant moins d'impacts sur l'environnement -écolabel- Se déplacer en vélo -ou à pied- plutôt qu'en voiture Utiliser les transport en commun plutôt que la voiture Faire du covoiturage ou de l'autopartage
2005 81 0 0 46 70 0 0 0 0 0 0 0 31 0
2006 81 0 0 52 70 0 0 0 0 0 0 0 35 0
2007 83 0 0 54 68 0 0 0 0 0 0 0 33 0
2008 86 0 66 54 71 0 41 0 0 0 0 23 33 0
2009 87 0 64 55 69 0 42 0 0 0 0 22 31 0
2010 83 0 63 50 64 0 37 0 0 0 0 20 31 0
2011 82 0 67 51 61 0 38 0 0 0 0 21 31 0
2012 86 0 67 50 65 0 42 0 49 0 0 25 33 18
2013 84 0 76 51 63 0 46 0 51 0 0 24 37 20
2014 80 0 62 51 55 0 36 0 41 0 0 18 30 16
2015 80 0 62 50 54 0 38 0 40 0 0 17 29 17
2016 77 0 58 49 52 0 39 0 39 0 29 17 28 15
2017 80 70 63 48 53 0 41 37 40 0 28 37 33 19
2018 84 72 68 63 54 0 47 49 41 38 36 37 31 20
2019 84 73 70 66 57 52 52 50 43 42 40 39 31 20

Les taux de réponses positives à ces questions sont en hausse ou stagnent.

« Dans l’ordre du "Déjà fait" on trouve en premier lieu le "tri des déchets" (84 %) qui occupe depuis longtemps la première place ainsi que quelques actions réalisées au sein du foyer moyennant un degré de contrainte assez modéré : "Couper le chauffage en cas d’absence" (73 %), "Veiller à acheter des légumes locaux et de saison" (70 %) "Baisser la température du logement" (66 %) ainsi que " Eteindre les appareils électriques qui restent en veille " (57 %) et enfin "Acheter de préférence des produits locaux" et "Limiter la consommation de viande (52 %). La seconde classe, concerne des actions que l’on "Pourrait faire assez facilement". On y trouve surtout des comportements relativement novateurs ayant parfois fait l’objet de campagnes de communication : "Choisir des produits ayant moins d’impacts sur l’environnement" (42 %) "Choisir des produits avec peu d’emballage" (43%) "Consommer moins" (32%) "Limiter la consommation de viande de mon foyer" (22 %) "Ne plus prendre l’avion pour ses loisirs" (23 %). Restent enfin des choix difficiles ou impossibles parmi lesquels se situent toujours des enjeux de la mobilité avec notamment dans les objectifs déclarés difficiles ou impossibles à atteindre "Faire du covoiturage ou de l’auto-partage" (20 %) , "Utiliser les transports en commun plutôt que la voiture" (31 %) , "Se déplacer en vélo (ou à pied) plutôt qu’en voiture" (39 %). Ces actions diffèrent sensiblement des précédentes en raison des contraintes structurelles qui les caractérisent telles que la présence effective de transports en commun ou de pistes cyclables etc. On le vérifie, par exemple, en observant que quand il s’agit "d’utiliser les transports en commun plutôt que la voiture" la réponse "Vous ne pouvez pas le faire" passe de 12 % en Région Parisienne à 60 % en zone rurale. »
(ADEME)

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